1 « Si j’étais chômeur, je n’attendrais pas tout de l’autre, j’essaierais de me battre d’abord. »
2 « Il y a dans cette société (Doux) une majorité de femmes. Il y en a qui sont, pour beaucoup, illettrées. »
3 « Vous n’allez pas me faire peur avec votre t-shirt, la meilleure façon de se payer un costard c’est de travailler.
4 « Je ne suis pas là pour défendre les jobs existants »
5 « Le chômage de masse en France c’est parce que les travailleurs sont trop protégés »
6 « Je pense qu’il y a une politique de fainéants et il y a la politique des artisans. »
7 Tous ses conseillers présentent le même profil, jeune et diplômé : « J’assume. Les maréchaux d’Empire étaient jeunes et ce n’étaient pas des paysans »
8 « Certains au lieu de foutre le bordel feraient mieux d’aller regarder s’il peuvent pas avoir des postes »
9 « Les salariés français sont trop payés »
10 « Les salariés doivent pouvoir travailler plus, sans être payés plus si les syndicats majoritaires sont d’accord. »
11 Le compte pénibilité ? « Je n’aime pas le terme donc je le supprimerais car il induit que le travail est une douleur »
12 « Vu la situation économique, ne plus payer les heures supplémentaires c’est une nécessité »
13 « Ceux qui défendent les emplois aidés sont ceux qui n’en voudraient pas pour eux »
14 « Je vais faire un CICE durable »
15 « La tranche d’impôt de Hollande à 75 % ? C’est Cuba sans le soleil »
16 « Je n’aime pas ce terme de modèle social. »
17 « Je suis pour une société sans statuts »
18 « Je compte sur vous pour engager plus d’apprentis. C’est désormais gratuit quand ils sont mineurs »
19 « Dans les motifs de rupture du contrat de travail, [la rupture conventionnelle] est aujourd’hui le premier »
20 « Il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaires. »
21 « 35 h pour un jeune, ce n’est pas assez »
22 « Les jeunes générations veulent être entrepreneurs, pas fonctionnaires »
23 « Je dis aux jeunes : « ne cherchez plus un patron cherchez des clients »
24 « Les pauvres d’aujourd’hui sont souvent moins les retraités que les jeunes »
25 « Je ne veux plus d’ici la fin de l’année avoir des femmes et des hommes dans les rues, dans les bois ou perdus ».
26 : « Je ne vais pas interdire Uber et les VTC, ce serait les renvoyer vendre de la drogue à Stains »
27 « Une start-up nation est une nation ou chacun peut se dire qu’il pourra créer une start-up. Je veux que la France en soit une ».
28 « Les britanniques ont la chance d’avoir eu Margaret Thatcher »
29. « Le libéralisme est une valeur de gauche »
30 « Je ne céderais rien ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes, ni aux égoïstes, ni aux pessimistes » qui se dressent contre les ordonnances anti travail.
31 « Dans les gares, vous croisez des gens qui réussissent et d’autres qui ne sont rien »
32 « J’ai été élu par des gens qui ne m’ont pas choisi »
33. « Être élu est un cursus d’un ancien temps. »
34 « La démocratie ne se fait pas dans la rue »
35 « Être populaire ne m’intéresse pas, mon pays doit avant tout être réformé car nous avons 10 % de chômage ».
36 Les fainéants ce sont « ceux qui n’ont pas fait les réformes pendant 15 ans pas les Français »
37 « La France n’est pas un pays qui se reforme parce qu’on se cabre, on résiste, on contourne, nous sommes ainsi faits ».
38 « Tu sais, quand tu es président de la République, ce n’est pas le moment où tu gagnes le plus d’argent »
39 « La France est en deuil d’un roi »
40 « Les révolutionnaires sont souvent des ratés du suffrage universel »
41 : « La gauche classique est une étoile morte. L’idéologie de gauche classique ne permet pas de penser le réel tel qu’il est »
42 : « C’est une erreur de penser que le programme est le cœur d’une campagne électorale » « La politique c’est mystique »
43 « Le FN est, toutes choses égales par ailleurs, une forme de Syriza à la française, d’extrême-droite. »
44 Il qualifie ceux qui, au sein du PS, s’opposent à sa 1° loi (308 articles dont le travail le dimanche, de nuit, ou la privatisation du don du sang) de « foyer infectieux » ou de « fainéants ».
45 « Chaque candidat qui sera investi signera, avec moi, le contrat avec la Nation. Il s’engage à voter à mes côtés les grands projets, à soutenir notre projet. » « Pas de frondeurs »
46 « Quand des pays ont encore sept à huit enfants par femme, vous pouvez décider d’y dépenser des milliards d’euros, vous ne stabiliserez rien. »
47 « Il n’y a pas de culture française mais des cultures »
48 « Le kwassa kwassa pêche peu, il amène du comorien »
49 A propos des critiques à la suppression de l’impôt sur la fortune « La passion triste de la France, la jalousie ».
50 « Je crois à la cordée, il y a des hommes et des femmes qui réussissent parce qu’ils ont des talents, je veux qu’on les célèbre […] Si l’on commence à jeter des cailloux sur les premiers de cordée c’est toute la cordée qui dégringole »
51 « Le jour où tu veux faire la révolution, tu apprends d’abord à avoir un diplôme et à te nourrir toi-même, d’accord ? Et à ce moment-là tu iras donner des leçons aux autres »
52 « La France a été fortifiée par l’engagement des catholiques »
53 « La Nation s’est le plus souvent grandit de la sagesse de l’Église »
54 « Je suis convaincu que la sève catholique doit contribuer encore et toujours à faire vivre notre nation »
55 « S’ils cherchent un responsable, le seul responsable c’est moi et moi seul. […] Qu’ils viennent me chercher »
56 « Il ne s’agit pas d’être naïf, ce qui est possible est lié à une culture, un peuple marqué par son histoire. Ce peuple luthérien, qui a vécu les transformations de ces dernières années, n’est pas exactement le Gaulois réfractaire au changement ! Encore que ! Mais nous avons en commun cette part d’Européen qui nous unit »
« La France est en deuil d’un roi »
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