Voilà un mois que le gouvernement et les préfectures cherchent à enterrer le mouvement autour de l’assassinat de Rémi par la police. La position du gouvernement est claire : la police peut tuer sans être remise en cause.
Pourtant des actions collectives et des initiatives se multiplient : à Toulouse, l’université du Mirail est bloquée, et partout en France des gendarmeries et des usines d’armement de la police sont prises pour cibles. A Rennes, jeudi dernier, malgré la présence d’un dispositif policier une fois de plus démesuré, plusieurs centaines de personnes déterminées ont de nouveau investi le centre-ville.
Il s’agit de ne laisser aucune police nous reprendre la rue.
En conséquence, une assemblée générale est proposée pour débattre collectivement des violences policières afin de s’organiser face à elles.